El Peyo

Bonjour à tous, je m'appelle Pierre ou Peyo (Pierre en basque) et j'ai 16 ans. Je souhaiterais fortement rejoindre votre guilde. J'ai toujours préféré et apprécié les jeux vidéos, que ce soit Dofus, LoL ou encore WoW, avec une guilde. Avant tout pour partager de bons moments, faire des sorties, des donjons et puis également pour évoluer plus vite dans le jeu car oui l'union fait la force. Votre guilde entre dans mes critères car elle est tout d'abord très sélective. Je joue en fait à Dofus depuis mes 10 ans et je me rend compte qu'il y a de moins en moins de joueurs matûres sur ce jeu. Avec un forum je trouve que ça élimine déjà un très large pannel de kikoos. Votre guilde me paraît très familiale et chaleureuse au premier abord en lisant quelques articles sur le forum. C'est toutes ces choses que je recherche et c'est donc pourquoi j'ai postulé ici.

Dans la vraie vie je suis au lycée en section ES et l'école c'est pas mon truc. Je suis dans le département de la Sarthe dans le sept deux. Je consacre beaucoup de temps à mon ordinateur et à regarder des séries. Les choses que j'aime en particulier sont les suivantes: la musique, mon lit, les bons petits plats, la mer, rouler, le cinéma et les filles. Les choses que je n'aime pas DU TOUT DU TOUT sont les suivantes: la télé réalité, les cours, les pétasses, le vent et les politiques.

In game, je suis un iop de niveau 84 à la minute où je vous écris, je ne joue pas sagesse puisque je trouve que c'est pas vraiment marrant. Par contre je triche de temps en temps et je vais à frigost quand ça me lasse de farm bêtement. Je viens de me remettre à Dofus depuis 1 mois parce que j'ai fait un break d'une année pour le lycée et parce que ça me manquait un peu. Je suis très disponible pour les sorties de guildes le mercredi après midi et le week end. La semaine je suis actif mais je ne suis pas sur skype je préfère xp et monter mes métiers seul et tranquillement. Si je rejoins la guilde je suis très bavard, je sais mettre de l'ambiance et je suis à l'aise pour discuter avec les gens. Je suis très posé et je peux prêter des items ou rendre service à un membre si ça n'est pas dans l'excès.

Voilà vous savez à peu près tout sur moi et si j'ai des choses à rectifier ou des détails en plus à vous donner n'hésitez pas si ça peut m'aider à intégrer la guilde.

En charcuterie, il est généralement fait d'un mélange finement haché de morceaux de viande ou d'abats (comme le foie), de gras, de légumes, d'œufs, d'herbes, d'épices ainsi que d'autres ingrédients tels que parfois des alcools comme le cognac. En cuisine française un pâté peut être cuit dans une croûte comme une tourte, auquel cas il est nommé pâté en croûte. S'il est cuit dans un plat en terre assez profond, de forme ovale ou rectangulaire, on peut parler de terrine. Le « pâté de foie gras » est une préparation à base de foie gras (comprenant un minimum de 50 % de foie gras), mais il n'a pas, en tant que tel, droit à l'appellation « foie gras », qui est juridiquement protégée. Quant au foie gras (« bloc de foie gras » ou « foie gras entier »), il ne s'agit pas d'un pâté, puisque, par définition, il ne comprend que du foie gras et un assaisonnement.Le Moyen Âge fait du pâté un chef d’œuvre : ce qui n’est, au xie siècle, qu’un simple haché de viandes épicées (ou de poisson), cuit dans une terrine et consommé froid, est alors composé d’une enveloppe de pâte fourrée de diverses viandes et superbement décorée lors des fêtes d’apparat. La première recette française, rédigée en vers par Gace de La Bigne, mentionne dans un même pâté trois gros perdreaux, six grosses cailles et une douzaine d’alouettes. Le Ménagier de Paris mentionne des pâtés de poussins et de gibier, de lapereau, de venaison fraiche, de bœuf, de pigeons, de mouton, de veau, de porc, d’alouettes encore, de tourterelles, de vache, d’oiselets, d’oie et de poule. Bartolomeo Sacchi dit Platine, préfet de la Bibliothèque apostolique vaticane, donne la recette d’un pâté de bête fauve : la chair, cuite dans l’eau avec sel et vinaigre, puis lardée, était placée dans une enveloppe de graisse épicée, avec un mélange de poivre, cannelle et lard gras pilés ; on piquait des clous de girofle dans la graisse jusqu’à la couvrir entièrement, puis on mettait le tout en pâte. Au xvie siècle, les pâtés les plus à la mode sont de bécasse au bec doré, de chapon, de langues de bœuf, de pieds de bœuf, de pieds de mouton, de poulets, de sarcelles, et de venaison1.

Contre.